Pour faire face à la multiplication des systèmes de captation vidéos, il est de plus en plus nécessaire de ne pas être identifiable visuellement lors d’une action quel quelle soit.
Vêtements :
Le traditionnel vêtement noir ample (pour dissimuler les formes) et le passe-montage/cagoule demeurent des classiques incontournables. Mais il est possible d’utiliser d’autres vêtements communs dont on prendra soin de se débarrasser après l’action. Si on choisit de les garder, un bon lavage ne fait jamais de mal.
Notons que lors du procès visant les incendiaires de la voiture du flic du quai de valmy, la justice a reconnu comme valable l’identification d’une personne grâce au caleçon qu’elle portait.
Les chaussures, dont il est plus coûteux de se débarrasser, peuvent être emballées dans un sac poubelle. Les flics aimant bien prélever les empreintes de pas, il peut s’avérer judicieux de se débarrasser des godasses après une balade dans la boue. Si on souhaite les garder, un petit décrassage vaut le coup.
Signes particuliers :
Il est important de faire attention à cacher/retirer les signes distinctifs : piercings, boucles d’oreilles, tatouages, lunettes, cicatrices, coupes de cheveux particulières… C’est le genre d’information que la flicaille n’hésite pas à noter sur les fiches.
Visage :
Les yeux et la zone alentour sont souvent utilisé pour l’identification. L’utilisation de lunettes de soleil ou de masque foncé de ski est plutôt efficace. Il faut aussi éviter de regarder directement les caméras car cela leur offre une superbe vue de notre visage.
Se maquiller peut aussi servir à brouiller les pistes.